MUSIQUE PLASTIQUE (2011-12)
Commissaire d'exposition : Jean-François Sanz.
Paris, galerie du jour Agnès B, 2011
Avec :
Alan Vega, Marc Hurtado, Sébastien Vitré / Hisham Bharoocha, Ben Vida (Soft Circle) / Maywa Denki / Serge Comte/Jean-Luc Verna / Jonas Mekas / Daniel Johnston / David Shrigley / Jason Glasser & Julien Langendorff (Pillars of Fire)/ Philippe Katerine / Arnaud Maguet & Hifiklub / Aurélie Dubois/Hugues Reip, Jacques Julien, Dominique Figarella, Fabio Viscogliosi (Splitt) / Elisa Pône (Meurtre) / Elisabeth Wendelbo (Xeno & Oaklander) / Thurston Moore (Sonic Youth) / Brian DeGraw (Gang Gang Dance) / Yaya (Herman Düne) / Destroy All Monsters (Niagara, Mike Kelley, Jim Shaw, Cary Loren) / Sir Alice / Etienne Charry / Tobias Bernstrup / Le Club des Chats ...
New York et Hong Kong, 2012
Avec :
Tobias Bernstrup / Hisham Bharoocha and Ben Vida / Etienne Charry / Brian DeGraw / Daniel Johnston / Jonas Mekas / Thurston Moore / David Shrigley / Alan Vega and Liz Wendelbo
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Paris, galerie du jour Agnès B, 2011
Avec :
Alan Vega, Marc Hurtado, Sébastien Vitré / Hisham Bharoocha, Ben Vida (Soft Circle) / Maywa Denki / Serge Comte/Jean-Luc Verna / Jonas Mekas / Daniel Johnston / David Shrigley / Jason Glasser & Julien Langendorff (Pillars of Fire)/ Philippe Katerine / Arnaud Maguet & Hifiklub / Aurélie Dubois/Hugues Reip, Jacques Julien, Dominique Figarella, Fabio Viscogliosi (Splitt) / Elisa Pône (Meurtre) / Elisabeth Wendelbo (Xeno & Oaklander) / Thurston Moore (Sonic Youth) / Brian DeGraw (Gang Gang Dance) / Yaya (Herman Düne) / Destroy All Monsters (Niagara, Mike Kelley, Jim Shaw, Cary Loren) / Sir Alice / Etienne Charry / Tobias Bernstrup / Le Club des Chats ...
New York et Hong Kong, 2012
Avec :
Tobias Bernstrup / Hisham Bharoocha and Ben Vida / Etienne Charry / Brian DeGraw / Daniel Johnston / Jonas Mekas / Thurston Moore / David Shrigley / Alan Vega and Liz Wendelbo
Cette installation est un condensé de diverses expériences musicales que j'ai entreprises depuis plusieurs années.
Avec d'abord Trous d'eau puis Salon Cerveau, qui sont 2 collections de 50 musiques que j'ai présentées, non pas comme des produits destinés à être dupliqués au plus grand nombre d'exemplaires, comme on doit le faire logiquement pour rentabiliser un projet commercial industriel, mais plutôt sur un modèle plus proche des arts plastiques, c'est à dire comme des pièces uniques.
La musique n'étant pas la peinture, il m'a fallu inventer des systèmes, des protocoles, des approches, des techniques de diffusion voire même des documents juridiques pour faire entendre ces musiques. Tout ceci m'a amené à mettre au point des séances d'écoute, performances, expositions, installations dans divers musées, galeries, festivals en France et à l'étranger et de fil en aiguille à composer de nouvelles musiques et mettre sur pied de nouveaux projets tels que, plus récemment, Féérie d'immondices.
Les impératifs liés au caractère unique de ces musiques m'ont amené à mettre en place des système de diffusions dans lesquels, plusieurs musiques diffusées simultanément pouvaient se mêler et par l'effet conjugué du hasard et de la capacité limitée de nos oreilles à suivre en même temps plusieurs fils musicaux, nous amener à entendre et ressentir des émotions musicales éphémères et sublimes.
J'ai rassemblé dans cet espace 48 postes à transistor qui diffusent selon les moments 1, 2, 3 jusqu'à 4 musiques différentes, à des niveaux variés. Me prenant un instant pour le programmateur omnipotent de ces différentes stations de radio, je leur ai assigné une programmation uniquement constituée de musiques que j'ai composées (parmi lesquelles, des extraits des différentes collections citées plus haut mais aussi des multiples musiques inédites ou pas, issues ou non de collaborations avec divers artistes, créateurs d'image pour la plupart, avec qui j'ai eu la chance de travailler.
Avec d'abord Trous d'eau puis Salon Cerveau, qui sont 2 collections de 50 musiques que j'ai présentées, non pas comme des produits destinés à être dupliqués au plus grand nombre d'exemplaires, comme on doit le faire logiquement pour rentabiliser un projet commercial industriel, mais plutôt sur un modèle plus proche des arts plastiques, c'est à dire comme des pièces uniques.
La musique n'étant pas la peinture, il m'a fallu inventer des systèmes, des protocoles, des approches, des techniques de diffusion voire même des documents juridiques pour faire entendre ces musiques. Tout ceci m'a amené à mettre au point des séances d'écoute, performances, expositions, installations dans divers musées, galeries, festivals en France et à l'étranger et de fil en aiguille à composer de nouvelles musiques et mettre sur pied de nouveaux projets tels que, plus récemment, Féérie d'immondices.
Les impératifs liés au caractère unique de ces musiques m'ont amené à mettre en place des système de diffusions dans lesquels, plusieurs musiques diffusées simultanément pouvaient se mêler et par l'effet conjugué du hasard et de la capacité limitée de nos oreilles à suivre en même temps plusieurs fils musicaux, nous amener à entendre et ressentir des émotions musicales éphémères et sublimes.
J'ai rassemblé dans cet espace 48 postes à transistor qui diffusent selon les moments 1, 2, 3 jusqu'à 4 musiques différentes, à des niveaux variés. Me prenant un instant pour le programmateur omnipotent de ces différentes stations de radio, je leur ai assigné une programmation uniquement constituée de musiques que j'ai composées (parmi lesquelles, des extraits des différentes collections citées plus haut mais aussi des multiples musiques inédites ou pas, issues ou non de collaborations avec divers artistes, créateurs d'image pour la plupart, avec qui j'ai eu la chance de travailler.
